Released by Camion Blanc is the 230 page book "Elvis A Hollywood - Presley Fait Son Cinéma" by Jean-Jacques Jelot-Blanc.
From the French publisher:
"Phénomène du rock sur 33 tours, Elvis Presley exécuta aussi parfois de façon magistrale 33... tours de piste sur pellicule en technicolor!
Excepté pour son 1er film, Love Me Tender (Le Cavalier du crépuscule), car tourné en noir et blanc. « Gras, mou, fade, inexpressif » (sic), l'acteur Elvis ne cessa de subir les assauts de la critique qui ne le ménagea guère tandis que ses millions de fans firent un triomphe à la plupart de ses films, lesquels, soit dit en passant, rapportèrent souvent de quoi largement renflouer les caisses des grandes majors compagnies d'Hollywood (Metro Goldwin Mayer, 20th Century Fox ou Paramount) qui se disputèrent l'exclusivité de ses contrats à coup de millions car il en faisait rentrer cent fois davantage, bien plus d'ailleurs que ses concurrents acteurs chanteurs, de Frank Sinatra à Dean Martin.
Du film King Créole au documentaire Elvis on tour son dernier opus cinématographique, en passant par Viva Las Vegas, ce livre unique suit pas à pas le prolongement sur grand écran de son extraordinaire légende discographique. Car, quoi qu'en disent ses détracteurs, le King mérita largement sa couronne, autant face aux caméras que devant un micro!"
(Source: Elvis Club Berlin)
From the French publisher:
"Phénomène du rock sur 33 tours, Elvis Presley exécuta aussi parfois de façon magistrale 33... tours de piste sur pellicule en technicolor!
Excepté pour son 1er film, Love Me Tender (Le Cavalier du crépuscule), car tourné en noir et blanc. « Gras, mou, fade, inexpressif » (sic), l'acteur Elvis ne cessa de subir les assauts de la critique qui ne le ménagea guère tandis que ses millions de fans firent un triomphe à la plupart de ses films, lesquels, soit dit en passant, rapportèrent souvent de quoi largement renflouer les caisses des grandes majors compagnies d'Hollywood (Metro Goldwin Mayer, 20th Century Fox ou Paramount) qui se disputèrent l'exclusivité de ses contrats à coup de millions car il en faisait rentrer cent fois davantage, bien plus d'ailleurs que ses concurrents acteurs chanteurs, de Frank Sinatra à Dean Martin.
Du film King Créole au documentaire Elvis on tour son dernier opus cinématographique, en passant par Viva Las Vegas, ce livre unique suit pas à pas le prolongement sur grand écran de son extraordinaire légende discographique. Car, quoi qu'en disent ses détracteurs, le King mérita largement sa couronne, autant face aux caméras que devant un micro!"
(Source: Elvis Club Berlin)